Exclu : le site qui piratait la presse est fermé

Depuis samedi, le site Ebook Factory n'est plus accessible.

La page d'accueil affiche juste un message laconique : "403. Raison : Fermeture"


Ce site permet de télécharger gratuitement des magazines comme Entrevue et Micro Hebdo et des quotidiens comme Les Echos ou Le Parisien.

De l'illégal à 100% mais qui attirait les annonceurs puisque la page d'accueil présentait plusieurs liens publicitaires...

Les journalistes sont des fainéants

Je suis énervé.

En lisant hier la version francaise du site américain Slate, je découvre un papier sur Twitter.

Objet de l'article (au demeurant intéressant) : la presse francaise découvre avec beaucoup de retard ce réseau.

Surprenant ce titre.

Désolé mais tous les médias ne découvrent pas Twitter maintenant. Seuls les quotidiens nationaux et ce qu'on appelle la "grande presse" le découvre sur le tard.

Mais des sites et des blogs consacrés au high tech en ont déjà parlé depuis belle lurette...

C'est toujours la même chose avec l'innovation.

Exemple parmi d'autres : combien de titres de cette fameuse "grande presse" parlent sérieusement des distributions Linux (pas uniquement d'Ubuntu sous couvert de facilité pour les journalistes...) qui n'ont rien à envier par rapport à Windows et qui peuvent etre utilisées par le grand public (je les ai testées).

Je suis journaliste professionnel depuis 20 ans. Alors, je peux me le permettre : "messieurs les journalistes bougez votre c.. ! La facilité qui consiste à ne traiter que les sujets... traités http://www.blogger.com/img/blank.gifpar le voisin va nous ramollir le cerveau. La facilité fait fuir les lecteurs..."

Le meilleur antivirus est russe ?

Tout le monde le sait : surfer sur le net et échanger des emails et des fichiers présentent des risques. On peut être infecté par un virus informatique. D'ou la nécessité absolue d'installer un antivirus (même sous Linux contrairement à ce que prétendent breaucoup de Linuxiens).

Il en existe des dizaines. Tous n'ont pas les mêmes performances. Injustement méconnu en France, par le grand public (la faute en incombant principalement à la presse qui se contente toujours de tester les mêmes antivirus et ceux qui prennent de la pub...), Dr.Web Antivirus est l'une des meilleures protections.

L'éditeur russe Doctor Web (créé en 1990) vient de sortir la 5e version de DrWeb pour Windows. Ce logiciel présente trois atouts par rapport aux autres solutions :

- Il débusque de très nombreux codes malveillants (contrairement à ce que l'on peut voir dans des tests comparatifs qui n'ont rien de sérieux). La preuve, l'armée russe l'utilise depuis quelques années pour protéger tous ses PC. Pour être sûr que DrWeb est efficace, l'armée russe le décortique tous les mois !

-Il est léger. En clair, il n'accapare pas toute la mémoire et la capacité de votre PC. Ainsi, grâce aux performances renforcées du moteur antivirus, la vitesse de scan de Dr.Web Scanner a été accrue de 30% par rapport à la version antérieure.

- Il est simple à utiliser et ne présente pas des artifices fumeux, propres à quelques antivirus, dont le seul but est de faire croire qu'ils assurent une protection sans faille.

Cette version 5 est améilorée par rapport à la précédente qui assurait déjà un très bon niveau de protection. "Cette version 5.0 est ainsi dotée d’une technologie totalement novatrice, dite FLY-CODE, qui utilise une technique de
décompression universelle. Cette technologie permet de décompresser et d’extraire les fichiers traités par
des outils de compression inconnus de Dr.Web. Basé sur des entrées spécifiques de la base de données
virales Dr.Web, le moteur peut ainsi créer des hypothèses heuristiques au sujet d’objets malicieux
potentiellement embarqués dans l’archive compressée", explique DoctorWeb.

Autre innovation : "La technologie de détection sans signatures Origins.Tracinga été encore améliorée et assure également la détection des menaces inconnues. Cette technologie s’est avérée très efficace lors d’épidémies virales durant lesquels de nombreux utilisateurs d’antivirus tiers ont été atteints. Cette technologie complète
l’analyse par signatures et le moteur heuristique Dr.Web en assurant un haut taux de détection des
programmes malicieux inconnus."

Les virus passant maintenant par les navigateurs web, DrWeb 5 intègre un moniteur HTTP : SpIDer Gate.
Celui-ci analyse tout le trafic HTTP entrant et sortant. SpIDer GateTM est compatible avec tous les navigateurs web connus et son fonctionnement n’a aucun impact sur les performances du PC, de la bande passante lors du surfing Internet ou sur les volumes de données téléchargées.

Enfin, cette version 5.0 est dotée d’une nouvelle version du driver Dr.Web Shield permettant de contrer même les rootkits de futures générations.

A noter aussi la présence d'un Contrôle Parental.

Cette solution de sécurité merite donc plus d'intérêt. Elle est disponible en deux versions :

* Dr.Web Antivirus version 5.00 Française
* Dr.Web Security Space en version 5.00 Française. (Antivirus, Antispam, Moniteur http, Contrôle Parental)


Pour avoir une petite idée de l'efficacité de ce produit vous pouvez télécharger un plug-in gratuit qui permet de scanner tout lien Internet avant de l’ouvrir et tout fichier avant de le télécharger sur le poste de travail.

Le plug-in fonctionne sous Mozilla Firefox, Internet Explorer et Opera. Pour scanner un lien Internet ou un fichier, pas besoin de télécharger ni d’installer l’antivirus Dr.Web, le lien est directement envoyé au serveur Dr.Web bénéficiant d’une base virale mise à jour très régulièrement. Si un virus se cache dans le lien ou le fichier, un avertissement est envoyé à l’utilisateur.
Le plug-in est disponible :
Pour Mozilla Firefox/Thunderbird
Pour Internet Explorer
Pour Opera

DrWeb serait-il donc l'antivirus idéal pour tous les systèmes d'exploitation ? Presque.

Que lui manque-t-il ? Un forum en francais digne de ce nom permettant aux utilisateurs d'avoir des réponses à leurs soucis. Autre amélioration à apporter impérativement : un support en francais !

Il n'est pas normal qu'à cette question vue sur le (petit) support )Comment désinstaller Dr.Web Antivirus pour Windows v.4.44 (uniquement sous Windows NT/2000/XP) après une tentative de désinstallation échouée ?), DoctorWeb ne propose que des réponses en anglais !

Les Russes ont apparemment bien investi dans la recherche virale. Ils doivent maintenant investir dans un dictionnaire en francais ;-)

Un robot pas manchot

Voila le premier robot pour… fainéants. Réveil matin, notification d’email, prévisions météorologiques… : Tux Droid n’est pas manchot. Imaginé par la société Kysoh (pour Keep Your Sense Of Humour) fondée en 2005 par deux français, ce droid peut vous parler dans plus de dix langues grâce à un logiciel de synthèse vocale. Compatible Windows XP/Vista et Linux, il va vite vous apparaître comme indispensable. D’autant qu’il peut évoluer. En vous connectant au site livewithapenguin.com, vous pouvez lui ajouter gratuitement de nouvelles caractéristiques ou créer vos propres attitunes (animations mêlant son et mouvements). Bref, une idée originale pour Noel.

Caractéristiques :

Type : Robot pas manchot
Equipements : microphone, récepteur infrarouge, capteur de lumière, capteurs internes dans les deux ailes qui sont activés en poussant sur les ailes, prise 3.5 mm mono audio, transmetteur infrarouge, haut-parleur…
Microcontroleurs Atmel AVR RISC et une mémoire flash 4 Mbits
Connexion sans fil et port USB
Dimensions : 210 x 180 x 140 mm (avec les ailes baissées)
Alimentation : piles NiCd 750mAh avec 4 AAA
Prix : 150 €


Les atouts :
- Facilité d’installation
- Multiples langues
- Evolutif

Les défauts :
- Prix

Une caméra pour surveiller sa maison

Protéger son habitation par un système de vidéosurveillance n’est plus réservé aux entreprises spécialisées. Il existe aujourd’hui plusieurs kits. Mais ce n’est pas toujours évident car ces solutions reposent souvent sur le wi-fi qui n’est pas toujours aisé à maitriser. Vous n’aurez pas ces problèmes avec le Logitech Outdoor Video Security Master System. En 15 mn, tout marchait. La raison de cette rapidité ? Le CPL (Courant Porteur en ligne) qui fait passer les données (en l’occurrence les images de la caméra) par le réseau électrique domestique. En 15 mn donc, vous pourrez regarder les images en direct ou en différé. Capable de détecter le mouvement, cette caméra peut envoyer des alertes par email. Vous pourrez lire sur n’importe quel ordinateur (via un compte en ligne et un mot de passe) ou sur un téléphone portable (uniquement sous Windows Mobile). Vous pouvez gérer jusqu’à 6 caméras.
Ce kit est facile à utiliser. A condition toutefois de trouver une prise électrique pour alimenter la caméra. Elle doit être à quelques mètres et à l’abri de l’humidité. On regrette aussi que la caméra ne soit pas orientable et qu’elle n’ait pas un zoom.

Caractéristiques :

Type : Caméra de surveillance extérieur
Alimentation : secteur
Connectique : port USB
Prix : 300 €



Les atouts :
- Facilité d’installation
- Alertes sur PC et téléphone
- Multiples réglages

Les défauts :
- Compatible uniquement avec Windows Mobile
- Prix
- Objectif pas orientable

Un disque pour la TV

A force de récupérer des vidéos à droite et à gauche on se retrouve avec des centaines de DivX. Les regarder sur son ordinateur n’étant pas l’idéal mieux vaut les mettre sur un disque dur externe multimédia. Mais pas n’importe lequel.

Ayant testé ce modèle, nous avons pu apprécier ses performances. Doté d'une capacité de 500 Go (7200 tours/minute), il intègre notamment une connectique composée de sorties HDMI (parfait si vous avez des vidéos HD), péritel et composantes. Pour l'audio on trouve aussi du RCA et du coaxial SPDIF.
Nous avons apprécié également sa polyvalence en matière de lecture des formats audio et vidéo et sa prise en charge de plusieurs résolutions (480i, 480p, 720p et même l'upscaling jusqu'en 1080i).

Caractérisques :

Type : Disque dur multimédia
Capacité : 500 Go
Format : 3.5''
Interface : IDE (PATA)
Port USB 2.0
Dimensions & Poids : 19,5 x 5,8 x 12,7 cm et 900 g
Accessoires fournis : Télécommande, câble USB, adobe Photoshop Album 2.0, CD Solutions, Musicmatch Jukebox, IAB Pro (PC)…
Prix : 150 €


Les atouts :
HDMI
Nombreux formats compatibles

Les défauts :
- Prix un peu élevé

Un projo dans la poche

Quelle est loin l’époque où il fallait installer au plafond un gros vidéoprojecteur qui faisait un bruit d’avion biplace et qui ramassait toute la poussière du salon.

Place maintenant au projo qui tient dans la main. C’est ce que propose Optoma, un spécialiste de la vidéoprojection. Certes, cet appareil relève plus du gadget que du véritable appareil homecinema. Pas question bien sûr de savourer un bon film en Blu Ray puisque sa résolution n’est que de 480x320.

N’empêche c’est suffisant pour afficher une image de 50 à 70 cm. Ce picoprojecteur s'appuie sur une puce DMD Pico conçue par le spécialiste Texas Instrument. Autant dire que le résultat n’est pas mal du tout. Entièrement autonome, il fonctionne sur batterie, soit une projection de 90 minutes. Il peut être raccordé à un ultra ^portable ou un baladeur vidéo.

Caractéristiques :

Type : projecteur de poche
Dimensions & Poids : 10,3 x 5 x 1,5 cm et 115 g
Autonomie : deux heures
Prix : 350 euros

Les atouts :
Qualité des composants
Qualité honnête de l’affichage

Les défauts :
Prix élevé
Autonomie limitée

Une boussole GPS qui manque de souffle

Connue pour ses premières jumelles avec appareil photo numérique, la société américaine Bushnell est une spécialiste des optiques de loisirs. Ca se voit car sa boussole est une bonne idée un peu bâclée.

Facile de trouver le Nord
BackTrack n’a pas la prétention de remplacer un boitier autonome ou un téléphone GPS. Destinée aux randonneurs amateurs (les pros préférant se repérer autrement), elle permet de retrouver son chemin très facilement. Lorsqu’on démarre une promenade, on clique sur un bouton pour localiser son point de départ. Ainsi, pour le retour, il suffira de se laisser guider avec la flèche et de voir l’indicateur de distance restant à parcourir. Enfantin.

Le minimum
Mesurant un peu plus de 7 centimètres de diamètre, cette boussole ne possède que deux boutons. Le premier sert à la mettre en route et à afficher soit le mode boussole, soit l’un des trois modes de navigation. Le second sert à définir sa position géographique. Alors évidemment, c’est un peu un choc si on la compare aux derniers TomTom ou Navigon par exemple : pas de cartographie 3D, ni de reconnaissance vocale.

Une précision quasi suisse
Equipé d'une puce GPS SiRFStar III, la Backtrack permet de se repérer à quelques mètres près. L’idéal pour retrouver sa toile de tente au milieu de la forêt ou pour les étourdis qui veulent retrouver leur voiture sur l’énorme parking d’un parc d’attractions !

Caractéristiques :

Type : Boussole GPS

Précision : entre 3 et 5 m en zone rurale, entre 10 et 20 m en zone urbaine

Récepteur GPS SIRF Star III à haute sensibilité) et boussole numérique à calibrage automatique

Alimentation : 2 piles AAA

Autonomie : jusqu’à 120 utilisations ou 20 heures.

Dimensions & poids : 7,3 cm de diamètre et 73 g

Couleurs : vert, gris, rose et gris/orange

Prix : 70 €


Les atouts :
Simplicité
Prix

Les défauts :
Autonomie

Un mini qui a du muscle

A coté des ultraPC et des PC portables, il y a aussi les minis ordinateurs de bureau. Certains n’ont rien à envier à la concurrence. La preuve avec ce puissant XPC P2 3500 S de Shuttle.

Un équipement convaincant Certains PC de bureau sont moins bien lotis que cet ultra : processeur Intel Core 2 Duo E8400, carte graphique ATI Radeon HD 4850 , 4 Go de mémoire DDR2-800, disque dur SATA2 de 1 To, graveur de DVD et Windows Vista Home Premium. Et pour compléter le tout, la garantie comprend le service d'enlèvement / retour sur site de 24 mois (Pick-up-and-Return-Service). Bref, quand on lance ce petit bolide on sent tout de suite la différence avec les autres ultras du marché.

Pas un mini Attention, ce petit PC, construit en aluminium, n’est pas très léger puisqu’il pèse 8 kilos. Il se destine soit aux professionnels, soit aux fans de jeux vidéo. Multiples connexions Pas de galère pour relier différents périphériques à ce PC. Il dispose en effet de 6 ports USB 2.0, de deux prises eSata externe et d’une prise FireWire notamment.
Du volume Ce mini PC a aussi de grosses capacités de stockage puisqu’il est équipé d’un disque dur 3,5 pouces de 1 To ! De quoi mettre tous ses documents et fichiers comme des DivX et des jeux.

Caractéristiques :
Type : Mini-PC
Capacité : disque dur SATA2 de 1 To
Equipement : Intel Core 2 Duo E8400, carte graphique ATI Radeon HD 4850, 4 Go de mémoire DDR2-800, disque dur SATA2 de 1 To, graveur de DVD et Windows Vista Home Premium
Connexions : S-Video/Composite, 6 ports USB 2.0, Firewire, 2 Serial ATA Hotplug (eSATA)
Dimensions&Poids : 32,5 x 22 x 21 cm et 8 kilos
Prix : 890 €

Les atouts :
- L’équipement
- Importante capacité de stockage : 1 To !

Le défaut :
- Absence de lecteur Blu-Ray

Linux testé par un nul

Je ne suis qu'un simple linuxien débutant depuis 2 mois.

Ce délais m'a permis de tester trois dsitrib' (sur un PC de bureau avec Intel core 2 duo notamment) en tant que "Monsieur Michu.

Bref, je ne fais pas de montage vidéo, ni audio (trop chiant et je suis trop fainéant), je ne fais pas de bidouilles... Premier bilan donc :

Installation :
Opensuse : 5/5
Ubuntu : 4/5
Debian : 3/5 (installation faite sur bun PC portable "basic n'a posé aucun probleme par contre).
Pourquoi cette note pour Debian ? En fait j'ai galéré avec mon pilote nVidia. Heureusement j'ai été dépanné avec succès par deux linuxiens.
La note d'Ubuntu correspond au probleme que j'ai rencontré (même chose pour Debian sur mon PC de bureau) à monter mon 2e disque dur interne. Là aussi, merci aux deux compères. Par contre, Suse ne m'a posé aucun soucis.


Utilisation
Opensuse : 5/5
Ubuntu : 5/5
Debian : 5/5
Une fois les problemes de pilotes nvidia et l'accès à mon 2e disque dur, je n'ai pas rencontré de soucis majeurs pour faire de la bureautique et du net. L'installation de soft ne pose aucun probleme avec les trois. Simplement, j'avoue que la petite couche de vernis de Suse (pas besoin de recours à la ligne de commande) m'a facilité la tâche pour débuter.


Pas de bugs ?
Opensuse : 2/5
Ubuntu : 5/5
Debian : 5/5
Là par contre, Suse m'a un peu gonflé ;-( Alors que tout marchait, tout a été planté. Pourquoi ? Je n'ai pas fait de fausse manip à mon sens. Dans Yast, j'ai constaté qu'il y avait plein de mises à jour. J'ai tout sélectionné et là patatras : impossible d'utiliser de nouveau Suse. Nvidia faisait des siennes. rien à faire malgré l'aide appréciée de quelques forums (terranux notamment).
Résultat, il a fallu que je réinstalle complètement suse. Pour l'instant, tout baigne au bout de 10 jours.

L'aide en ligne
Opensuse : 5/5
Ubuntu : 5/5
Debian : 5/5
Dans les trois cas, j'ai trouvé mes réponses grace à des forums. Bravo.

Premier bilan
Passé les premiers moments de grosses galères, je ne vois pas encore une distrib' qui me convainc plus qu'une autre. Je vais donc continuer mes tests pendant plusieurs semaines avant d'en choisir une (définitivement ?).

Samsung mise sur la HD et le téléphone

A Barcelone, Samsung a présenté Samsung Player HD. C'est le premier mobile capable d’enregistrer des vidéos HD en 720P (1 280 x 720 pixels).

Animé par le système d’exploitation Symbian S60 5.0, ce smartphone multimédia entièrement tactile est également doté du plus grand écran AMOLED jamais vu sur un téléphone portable (3,7 pouces). L'écran tactile AMOLED (Diode électroluminescente organique à matrice active) se distingue par ses tons nets, ses couleurs vives et sa grande clarté même en pleine lumière, pour une consommation en énergie réduite.

Avec la fonction d’enregistrement HD, vous pouvez filmer au format HD (720p), ou encore partager vos vidéos en direct sur Internet ou sur votre téléviseur. Retouche, doublage audio, ajout de sous-titres, capture d’images… le PLAYER HD embarque un studio de montage nomade particulièrement performant. Son affichage 16:9 en définition QHD avec 16 millions de couleurs et ses deux enceintes stéréo ouvrent une nouvelle dimension de l’expérience multimédia.

Équipé d’un capteur de 8 millions de pixels, le Samsung PLAYER HD intègre toutes les fonctions d’un compact numérique dans un mobile : Autofocus, détecteur des visages, reconnaissance des sourires et des yeux fermés, mode panoramique… L’appareil photo du Player HD reconnaît également les cartes de visite et enregistre les données automatiquement dans le répertoire du téléphone.

Grâce à son accès internet extrêmement rapide, avec 7,2 Mbps en HSDPA, vous pouvez charger ou télécharger un titre MP3 de 4 Mo en moins de 10 secondes et un film de 40 Mo en une minute. Son écran de 3,7 pouces à rotation automatique vous permet également de surfer sur le Web avec votre mobile aussi bien qu’avec un ordinateur. Et pour composer vos mails, le Samsung PLAYER HD dispose d'un clavier AZERTY tactile.

Il possède aussi un GPS et sa mémoire interne atteint de 8 Go ou 16 Go selon les options. Elle peut également être augmentée avec une carte micro SDHC de 32 Go.

Il sera disponible en France en avril prochain. Son prix n'est pas encore connu.

HTC lance le premier terminal GSM-WIMAX

L'avenir appartient peut-être aux connexions hybrides. Présentées par ses ardents défenseurs (dont Intel) comme la solution sans fil de l'avenir, le WiMax n'a pas pour l'instant été une réussite. Ce constat n'a pas découragé l'industriel HTC et Scartel, fournisseur russe de WiMAX mobile. Fin 2008, ils ont annoncé le lancement du HTC MAX 4G. C'est le premier terminal au monde intégrant GSM et WiMAX« Grâce au large choix de services basés sur le réseau mobile WiMAX de cet opérateur russe, le HTC MAX 4G propose une expérience de téléphonie et de contenu multimédia de haute qualité dans un terminal tactile élégant » selon les deux associés. Les abonnés peuvent notamment accéder à un bouquet de 23 chaines gratuites et à plus de 50 000 titres de musique internationale et de catalogues indépendants, a écouter en ligne ou à télécharger sur la carte mémoire de 8Go. Coté caractéristiques, ce terminal reprend en fait celles du HTC HD, soit notamment un processeur Qualcomm ESM7206A cadencé à 528 Mhz, la couche logicielle HTC TouchFlo, le système d’exploitation Windows Mobile 6.1 Professional, un écran tactile de 3,8 pouces (résolution de 400x800 WVGA) et une connectique complète (Wi-Fi 802.11 b/g et Bluetooth 2.0).

La vidéo dans la poche

Voici mon test du Aiptek Pocket Cinema V10


Ne pesant que 150 grammes, ce mini projo délivre néanmoins une image de qualité grâce au savoir-faire du géant 3M. Dommage que ce petit bijou soit onéreux...

Une image surprenante
Pourvu d’une technologie LED mise au point par la société américaine 3M, ce projecteur de poche diffuse une vidéo qui nous a surpris. Certes, il ne faut pas s'attendre à bénéficier d'une image aussi fine que celle projetée par un vidéoprojecteur classique mais elle est plus qu'honnête. Autre surprise : sa coque en aluminium renferme une technologie optique LCos d’une durée de vie de 20 000 heures soit plus de 6 heures d’utilisation par jour pendant 10 ans... Selon le constructeur, c'est plus que les appareils de salon qui se contentent de 5000 heures. Un argument que nous n'avons pas pu vérifier, faute de temps...

Une bonne mémoire
La capacité de stockage de ce Pocket Cinema V10 nous a également surpris. Peu, voire aucun, de modèles concurrents disposent en effet d'une mémoire interne. Qui plus est de 1 Go. Le Pico Optoma que nous avions testé dans HiTech Nomade 2 (page 70) n'a pas de mémoire du tout ! Pour transférer nos contenus multimédias vers ce Pocket nous avons simplement utiliser son port USB. Certes, le débit n'est pas très rapide mais c'est pratique.

Un équipement à la carte
Si la mémoire interne ne vous suffit pas et si le recours au transfert via l'USB ne vous convient pas vous pouvez toujours ajouter une carte mémoire (jusqu'à 8 Go). Il compte aussi une entrée vidéo permettant de le relier à une console de jeux, un iPod, un appareil photo ou un, caméscope. Les deux autres équipements nous ont moins convaincus : des haut-parleurs stéréo de 0,5 Watt (pas de quoi réveiller grand mère endormie dans le canapé...) et un trépied en aluminium orientable plus ou moins stable.


Caractéristiques :

Type : mini vidéo projecteur multimédia

Affichage jusque 50 pouces (1,27 mètre)

Formats supportés : MPEG-4 (.AVI, .ASF, .MP4), H.264 (.MP4), M-JPEG (.AVI) / JPEG / MP3

Equipement : haut-parleur intégré, sortie audio stéréo (pour connexion HP ou écouteurs), entrée vidéo (Av-in)

Mémoire interne : 1 Go. Slot SD/SDHC/MMC/MSPro, jusqu'à 8 Go

Alimentation : batterie Li-ion avec une autonomie d’environ 1h30

Dimensions & poids : 125 x 55 x 23 mm et 155 g

Prix : 300 €



Atouts
Equipement
Qualité de la projection
Mémoire interne de 1 Go + carte mémoire


Défauts
Prix élevé
Faible autonomie


Qualité :
4/5

Equipement :
4/5

Ergonomie :
4/5

Autonomie :
2/5

Note générale :
4/5

Pour monsieur Spot

Voici un petit appareil qui peut vous sauver la vie si vous êtes fan de randonnées ou de sport extrême. Il s'agit du premier système portable de suivi et de transmission par satellite au monde ! Contrairement aux radiobalises individuelles classiques, le dispositif SPOT fait plus que d'envoyer un signal de détresse. En effet grâce à des boutons préprogrammés, il peut par exemple envoyer automatiquement des messages de contrôle à vos amis. Ils connaitront ainsi votre progression et votre situation géographique.

200 € (abonnement au service par satellite requis)

Test du Terratec Noxon iRadio for iPod

Une web-radio de luxe

Terratec est une marque connue depuis quelques années pour la qualité de ses produits. Elle s’adapte au marché en proposant une nouvelle version de sa web radio qui pour l’occasion passe du blanc au noir. Cette fois, elle peut recevoir tous les modèles d’iPod. Seul bémol : si ce dock n’accepte pas le vôtre, vous devrez acheter l’adaptateur qui convient car il n’est pas fourni. Ce défaut est compensé par la présence au dos de l’appareil d’une prise USB host permettant d’accueillir une clef USB ou un disque dur externe. La qualité audio est comme toujours avec cette marque de bonne facture mais il ne faut pas s’attendre à des miracles non plus avec un haut parleur 5 W (4 Ohm). Voici donc une radio et une station audio qui sera appréciée par les fans de musique. Mais pas question de l’emmener sur la terrasse car elle n’a pas de batterie !


Caractéristiques :

Type : Web radio
Connexions : wi-fi b/g, Ethernet, jack 3,5 mm
Formats audio : M3U, PLS, AAC+, WAV et MP3 (jusqu'à 320 kBits/s, CBR/VBR)
Alimentation : secteur
Dimensions & Poids : 215 x 120 x 110 mm et 1,1 kg
Accessoires fournis : Télécommande Infrarouge, antenne Wi-fi, antenne FM et 2 logiciels
Prix : 300 €


Les atouts :
Qualité des composants et de la réception
Design

Les défauts :
Prix et poids élevés
Pas de batterie

Test du MSI EX300 MyPop

Un portable pour le multimédia

MSI veut se démarquer de la concurrence en proposant un portable gonflé au Core2Duo et affichant un écran d'environ 34 cm. De bonnes performances.


Un PC véloce
Rien à voir avec le pauvre Atom. Le processeur Intel Core2Duo P7350 cadencé à 2 Ghz permet de bénéficier d'un confort d'utilisation sans comparaison. Ce portable s'appuie aussi sur un chipset Intel PM45 et une bonne carte graphique ATI Radeon HD3450 et 256 Mo de mémoire dédiée. De quoi faire tourner sans trop de problème Windows Vista Familiale Premium.

Un affichage confortable
Cette gamme EX300 MyPop bénéficie d'un écran de 13.3’’ (presque 34 cm de diagonale) ayant une résolution de 1 280 x 800 pixels (WXGA.).

Pour le multimédia
Equipé d'un dispositif Dolby Theater et d’une sortie HDMI, il peut être utilisé pour diffuser de la vidéo en haute définition. Mais quel regret que le lecteur intégré ne soit pas compatible avec le format Blu Ray !

Un équipement complet
Il est doté d’un graveur de DVD double couche, d’un disque dur de 250 Go et d’une mémoire de 3 Go. Sa connectique est complète : lecteur de cartes 3 en 1, Bluetooth 2.0+EDR, HDMI, ExpressCard, VGA, casque, micro, Ethernet, 3 ports USB 2.0, webcam 2 millions de pixels... Par contre la présence d'un lecteur d’empreinte digitale ne nous a pas convaincu. Cette option relève plus du gadget que d'une fonction utile.


Encadré : Portable ou ultra ?
Les fabricants d'ordinateurs voudraient brouiller les pistes qu'ils ne s'y prendraient pas autrement ! Avant c'était simple : il y avait les PC de bureau et la version portable. Depuis le succès inattendu des mini portables EeePC, il faut ajouter les PC portables qui se prennent soi disant pour des... mini portables. MSI nous fait le coup avec ce EX300 en mettant en avant ses dimensions et son poids « plume » (presque deux kilos quand même...). Un peu osé comme argument... marketing.


Ecran de 13.3’’ (presque 34 cm de diagonale) de 1 280 x 800 WXGA.

Processeur : Intel Core2Duo P7350

Mémoire : 3 Go

Système : Windows Vista Familiale Premium

Stockage : disque dur de 250 Go

Connectivité : Gigabit Ethernet, Bluetooth et Wi-Fi.

Alimentation : batterie 4 cellules. Autonomie non précisée.

Dimensions & poids :
303 x 231 x 24-30 mm et 1,9 kg

Prix :
999 €



Les atouts :
Taille de l'écran
Performances générales

Les défauts :
Pas de lecteur Blu Ray
Prix

Performances :
4,5/5

Affichage :
4/5

Extensions :
4,5/5

Autonomie :
nc

Note générale :
4/5

Microsoft cherche un pirate

Le Ver Conficker continue à faire parler de lui. Il a infecté des millions de PC et notamment ceux de la Marine francaise.

Microsoft a décidé de faire comme au far-west. Il propose une prime de 250 000 dollars pour débusquer le créateur de ce virus.

Les chasseurs de primes devraient donc se tourner vers les pays de l'Est car selon nos informations, l'auteur de ce code malveillant très sophistiqué se trouverait soit en Russie, soit en Ukraine...

Test du Noxon iRadio Cube de Terratec

Il n'y a pas que la FM. Pour dénicher des programmes originaux, il est préférable d'utiliser un poste de radio qui se connecte au web. C'est le cas de ce Terratec. Un modèle du genre ?

Internet sans fil
Ce poste de radio se connecte au web grâce à son port Ethernet ou via une connexion Wi-Fi 802.11b/g pour écouter quelque 11 000 stations thématiques. Couplé à un module CPL (Courant porteur en ligne), il peut aussi vous permettre d'écouter les chansons que vous avez stockées sur votre ordinateur. C'est très simple et pratique.

Tous les formats
Ce Noxon iRadio Cube est compatible avec les musiques achetées sur Internet, au format WMA protégé par DRM 10. Vous pouvez bien sûr écouter des titres encodés au format MP3, Wav ou AAC+.

Un mode d'emploi simplifié
Un écran LCD monochrome, quelques boutons de contrôle et une télécommande : Terratec fait dans la simplicité et c'est un point qui nous a séduit. Beaucoup de concurrents multiplient à l'envi les option et les réglages. Dans les faits, cela est rarement utilisé. C'est ce que nous avons constaté : les fonctionnalités de ce produit ont pleinement satisfait nos besoins.

Une audio honnête
Ce modèle est équipé de deux haut-parleurs de quatre Watts RMS et d'un caisson de basses de huit Watts RMS. D'aucuns trouveront que cela est peu léger. En le testant, nous avons au contraire constaté que cela est largement suffisant pour écouter des webradios de rock par exemple.

Type :
Webradio et tuner FM


Equipement : système de hauts-parleurs 2.1 (2x4W / 1x8W), bloc d’alimentation 12V / 2A

Connectivité : IEEE 802.11b / g et EEE 802.3, IEEE-802.3u, Ethernet RJ-45

Compatibilité : MP3 (jusqu'à 320 kBits/s, CBR/VBR), WMA-9 (jusqu'à 320 kBits/s) sans protection anti-copie et avec protection anti-copie Windows Media DRM10, AAC+ et WAV

Dimensions&Poids : 130 x 145 x 140 mm et 1.24 kg


Prix :
200 €

Les plus :
- Son de qualité
- Wi-fi
Mode d'emploi simple


Les moins :
Ecran monochrome
Poids


Qualité :
4,5/5

Equipement :
4/5

Ergonomie :
4/5


Note générale :
4/5

Test du Becker Traffic Assist Pro Z 250 Ferrari

Présenté comme un appareil haut de gamme avec sa griffe de la Scuderia, ce Becker pêche pas des menus qui ne sont pas assez intuitifs. Dommage car le guidage est parfait.

Il faut être patient
Pas très pratique. C'est l'impression que nous avons eu dès la première prise en main. La navigation dans les menus n'est pas intuitive. La faute à l'absence d'icônes et d'informations explicites. Lorsqu'on est perdu dans les menus, on galère pour revenir au menu principal. On tape bêtement n'importe où sur l'écran pour essayer de sortir de cette imapsse jusqu'au moment où l'on découvre qu'en appuyant sur le bouton... « On » on revient en arrière.... De quoi être énervé quand on est perdu en pleine campagne !


De l'adresse pour avoir une adresse
Seconde mauvaise surprise : choisir une adresse. Sur d'autres GPS concurrents, et notamment les TomTom, c'est clair et facile et donc rapide. Là, ce n'est pas le cas. Si la rue que vous cherchez est par exemple « Pierre de Ronsard », vous tapez la première lettre et vous pensez ensuite taper toutes les autres lettres. Non ! Dès que vous tapez la première puis la deuxième lettre, ce GPS vous propose une liste de rues. Pas convaincant même si l'on s'y fait par la suite.


Calcul rapide, guidage précis
Par contre, le calcul de l'itinéraire est très rapide. Ça compense le temps mis à régler sa destination... Une voix féminine agréable (non nasillarde) vous indique le chemin de facon très précise et avec méthode. Arriver à bon port est très facile. Un bonheur !

Un affichage décevant
Ce Becker dispose d'un écran d'environ 11 cm mais la carte est assez terne et les explications sont comme les menus : pas très clairs. Sur la gauche de notre écran, nous avons eu deux flèches pour tourner à gauche mais rien n'indique la distance et leur spécificité. Heureusement, le guidage vocal est parfait.

Un GPS qui assure pour le multimédia
Par contre, ce boîtier s'est montré efficace pour écouter des chansons ( MP3, WAV, OGG) , regarder des photos et vidéos (Mpeg-4, Jpeg et BMP) ou jouer à quelques jeux (Sudoku, casse-briques, etc.).


Fiche technique :

Affichage : écran de 10,9 cm. 16 millions de couleurs.

Equipement : Nav N Go iGO 8, circuit GPS SiRFStarIII InstantFix II, cartes routières Navteq de 42 pays, mémoire flash (128 Mo), Port USB et Bluetooth, processeur 400 MHz

Spécificités : Affichage 3D d'une dizaine de villes (Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux, Strasbourg, Nice et Montpellier) et d'une centaine européennes. Lecture des cartes SD ou clés USB.
Chargement par interface USB ou par l’allume-cigare

Dimensions & poids : 126 x 81 x 20,8 mm
et 202 g

Prix : 400 €


Les atouts :
Guidage très précis
Cartes routières de 42 pays
Voix féminine agréable

Les défauts :
Menus pas clairs
Support compliqué (absence d'indications dans manuel...)
Pas de bloc d'alimentation


Performances :
5/5

Affichage :
4/5

Mode d'emploi :
3/5


Note générale :
4/5

Le téléphone du futur : le multimédia dans la poche (5/5)

L'écologie n'est plus un mobile
Accusés d'utiliser des matériaux nocifs, les industriels des télécoms ont décidé de s'adapter à l'air du temps en développant des modèles contenant de plus en plus de matériaux recyclés ou moins dangereux pour notre santé et l'environnement. Et en plus, ces mobiles pourraient être bons pour notre santé ! C'est le but des recherches menées par Nokia avec son « Eco Sensor ». Il y a un an, le Finlandais a présenté un terminal très design possédant des capteurs permettant d'analyser votre environnement : le rythme cardiaque, la température ambiante, la pollution seront transmises à votre mobile. Une fois ces informations décortiquées, notre téléphone nous indiquera notamment notre niveau de stress. Pas très rassurant ?
De son coté, Motorola a présenté au dernier salon CES son premier portable certifié CarbonFree . Dénommé MOTO W233 Renew, il est fabriqué de plastique venant de bouteilles d'eau recyclées. Le packaging est également écologique car il composé de papier recyclé à 100% et l'encre est végétale. Disponible dès ce premier trimestre aux Etats-Unis (100 dollars environ), il comprend un écran de 1,6 pouce (un peu plus de 4 cm), d'une mémoire amovible de 2 Go, d'un mini USB... Mais la défense de l'environnement a un prix : pas de wi-fi, pas d'écran tactile, pas de Bluetooth, une résolution d'écran limitée à 128x128 pixels...
L'américain devance ainsi le Finlandais Nokia qui planche sur le concept « Remade ». Il s'agit d'un mobile entièrement « vert », composé de matériaux recyclés.

Le téléphone du futur : le multimédia dans la poche (4/5)

Des connexions sans fil sur vitaminées

Le Bluetooth est une solution pratique mais à la portée limitée. Le wi-fi permet plus de liberté mais le débit n'est pas vraiment transcendant. Pourquoi dans ce cas, ne pas mixer ces deux solutions ? C'est l'idée de l'américain Broadcom. A l'occasion du salon CES de Las Vegas, ce spécialiste des puces électroniques a fait une démonstration d'un Bluetooth « dopé au Wi-Fi ». Dans un proche avenir, les protocoles Bluetooth pourraient fonctionner aussi sur une liaison radio Wi-Fi. Objectif : bénéficier de débits plus élevés lorsqu'on transfère des données volumineuses (vidéos, photos) entre un ordinateur et un téléphone mobile par exemple et de revenir, ensuite, à un Bluetooth plus « classique » pour de simples connexions.
Sur le salon américain, Broadcom a donc impressionné avec un débit de 24 Mbit/s (débit réel d'une liaison 802.11g), une valeur dix fois plus élevée que celui offert par le Bluetooth EDR classique.

Le téléphone du futur : le multimédia dans la poche (3/5)

Un téléphone multi-formes

L'aspect visuel du téléphone portable n'a pas beaucoup évolué ces dernières années. Certes, il n'a plus rien à voir avec le gros Radiocom 2000 qui ne rentrait pas dans la boite à gants de cadres supérieurs privilégiés des années 80-90. Mais depuis, ils se ressemblent presque tous : un écran plus ou moins grand et un clavier plus ou moins petit et pratique. L'arrivée de l'iPhone a un peu modifié ce design avec l'arrivée des interfaces tactiles.
Dans les prochaines années, les ingénieurs des géants du mobile nous promettent des concept qui rendront obsolètes et un peu ridicules nos portables d'aujourd'hui. Le concept futuriste le plus connu est celui développé par Nokia avec l'Université de Cambridge. Baptisé "Morph", il consiste à imaginer un portable qui pourrait épouser différentes formes grâce à des matériaux flexibles et résistants. Ses fonctions seraient variées : terminal de messagerie lorsqu'il est ouvert, téléphone monobloc lorsqu'il est plié avec son oreillette sans fil amovible et bracelet au poignet pour le transport.

Debian, Linux et moi

Je vois que mon article n'est pas encore en ligne mais qu'il fait déjà parler...

Je n'ai pas la prétention de tester debian dans un article. Ce n'est pas le but et je n'ai pas les compétences. Je suis journaliste professionnel depuis 20 ans, je ne suis pas ingénieur.

Chacun son métier et chacun à sa place.

Cet article n'a pas la prétention de refaire le monde et de dire ce qui est bien et qui est mal. Je ne fais donc pas un test de debian vs Wind 7. Il me faudrait des dizaines de pages, des outils de mesure et une formation que je n'ai pas.

Revenons à la genèse de cet article.

Depuis quelque temps, on nous rabat les oreilles avec l'arrivée (dans un an...) de seven. Depuis la première version dispo en test, toute la presse multiplie à l'envi les articles.

Au moment où sort Debian 5, j'ai donc proposé à ma rédaction en chef de faire un premier papier sur cette distribution et montrer qu'elle est une alternative intéressante à seven pour les entreprises (il s'agit de la rubrique "Entreprise" de 01net.com; je ne parle donc pas d'un usage personnel).

Beaucoup d'entreprises et notamment des PME cherchent à réduire leurs couts sans diminuer leurs performances. Voilà pourquoi, à me yeux de simple journaliste, Debian est une alternative à seven. Elle est complète, voire plus complète que celle de Microsoft.

Maintenant, je dois composer avec les impératifs de la profession et les contraintes d'un média grand public online. Il ne faut donc se tromper et me condamner trop vite :?

Nos articles font 3000 signes. Vous pouvez en penser ce que vous voulez. Mais bon c'est comme ça : si les articles sont trop longs ils ne sont pas lus sur un support comme l'ordinateur et dans un média dont l'angle est le factuel online.

Exit donc 15 pages avec de multiples tableaux et analyses.

Avec cette article, j'espère en toute modestie donner l'envie à des entreprises de chercher à en savoir plus sur Debian et à la tester.

C'est d'ailleurs ma démarche personnelle.
J'ai débuté avec un Mac classic. Puis, je suis passé sous Windows 98, puis XP et enfin Vista.

En novembre 2008, j'ai décidé d'abandonner vista (trop lourd, trop chiant, trop cher, trop...) et de me faire un PC en kit et de passer sous Linux. J'ai donc lu des sites et des mags spécialisés - qui ne sont pas nécessairement grand public - et posé des questions sur des forums et des blogs.

Cela m'a permis de découvrir quelques bons contacts dont j'ai apprécié la compétence, la disponibilité et la volonté de me faire découvrir (à moi pauvre newbie qui débute dans le monde linuxien) Linux.
Merci donc à Christophe et Claude (http://www.road2mayotte.org/blog/) et à Cyrille (http://www.cyrille-borne.com/index.php?).

Résultat, j'ai commencé à tester depuis 2 mois Opensuse 11,1, Ubuntu et Debian. J'en suis satisfait même ce n'est pas une sinécure. Bref, je continue mon apprentissage en autodidacte motivé mais conscient de ses lacunes et limites en informatique et notamment en lignes de commande ;-).

Je vais continuer à les tester (usage professionnel et personnel) pendant quelques mois avant de savoir laquelle me convient le mieux.

J'espère donc que des internautes (notamment des professionnels) qui liront mon article (à paraître normalement lundi soir) auront la même démarche que moi : l'envie de découvrir Linux en général et Debian en particulier.

Qu'on ne se trompe pas de bataille, ni de débat; je n'ai fait qu'un article présentant (certes de façon factuelle et simplifiée) deux OS. D'autres articles suivront.

Quant à ma démarche de poser des questions par email aux développeurs, elle est en effet due au délai très court pour écrire cet article. C'est une méthode que j'utilise de temps en temps. A charge pour moi de faire le tri dans les réponses, de faire relire le papier par mes interlocuteurs et de travailler ma documentation en amont. Cette démarche m'a ainsi permis d'entrer en contact avec quelques développeurs Debian dont j'ai apprécié la diligence, les propos et la volonté d'éclaircir ma lanterne. Merci donc à Mike, Sylvain, Raphael et Xavier.

Le téléphone du futur : le multimédia dans la poche (2/5)

Deuxième partie

La haute-définition
Il y a un ou deux an, Orange faisait de la publicité vantant la HD sur téléphone mobile. Un peu exagéré. A la limite de la publicité mensongère car la HD n'arrivera sur les portables qu'avec la 3G+ et de nouvelles puces comme celle proposée par Qualcomm. Dénommée Snapdragon, elle intègre à la fois un processeur classique à 1 GHz, un processeur de traitement de signal à 600 MHz pour les applications multimédias (ou DSP), une puce radio compatible 3G+ et des technologies complémentaires comme le Wi-Fi, le Bluetooth ou l'A-GPS. Malgré sa taille minuscule (12 x 12 millimètres), elle permettra notamment de lire des vidéos HD (1 980 x 1 080 pixels).

Le téléphone du futur : le multimédia dans la poche

Lors du dernier salon CES, différentes marques de mobiles ont présenté leurs derniers modèles mais aussi quelques concepts. Un avant-gout de ce qui nous attend dans les prochaines années.
L'occasion de faire le point en différentes parties.

Première partie

La 4 G : l'internet mobile à haut débit

Il est bien loin le temps où il fallait être sous une borne Bi-bop pour appeler un ami avec ce petit téléphone portable de France Telecom. C'était pourtant en 1996 ! En moins de 20 ans, le mobile a fait un énorme bond en avant. Aujourd'hui, on peut se connecter partout pour discuter avec u ami ou surfer sur le web. Mais ce n'est pas encore la panacée. Les débits ne sont pas très élevés et ils sont bridés par les opérateurs !
Un cauchemar bientôt terminé si l'on en croit les industriels des télécoms et les opérateurs. En Espagne, Vodafone teste une nouvelle technologie qui permet de profiter de débits atteignant les 16 Mbps (Méga bits par seconde) et bientôt 21 Mbps). Rien à voir avec les 384 Kbps proposés par la norme UMTS. Pour atteindre des vitesses plus importantes, Vodafone s'appuie sur une version améliorée » du HSPA (7 Mbps environ), le HSPA+, qui commence à être déployée par des équipementiers comme Qualcomm et Ericsson. Le HSPA+ devrait être déployé en France dès cet année. Différentes marques proposeront alors de nouveaux terminaux compatibles.
Mais ce n'est pas fini. Le HSPA+ n'est qu'une étape vers la 4G. Elle s'appuiera certainement sur la norme LTE (Long Term Evolution). Le rêve car les débits pourraient atteindre des débits théoriques de 100 Mb/s en voie descendante (vers l'utilisateur) et de 50 Mb/s en voie ascendante. Cette solution, qui a été l'une des principale nouveautés du salon World Mobile Congress Forum qui s'est tenu à Barcelone en février, pourrait être lancée commercialement à partir de 2011-2012. Avec le LTE, vous pourrez regarder vos chaines préférées, télécharger à haute vitesse et faire de la visioconférence. Tout ça avec votre téléphone.

MSI EX300 MyPop : un portable pour le multimédia

MSI veut se démarquer de la concurrence en proposant un portable gonflé au Core2Duo et affichant un écran d'environ 34 cm. De bonnes performances.


Un PC véloce
Rien à voir avec le pauvre Atom. Le processeur Intel Core2Duo P7350 cadencé à 2 Ghz permet de bénéficier d'un confort d'utilisation sans comparaison. Ce portable s'appuie aussi sur un chipset Intel PM45 et une bonne carte graphique ATI Radeon HD3450 et 256 Mo de mémoire dédiée. De quoi faire tourner sans trop de problème Windows Vista Familiale Premium.



Un affichage confortable
Cette gamme EX300 MyPop bénéficie d'un écran de 13.3’’ (presque 34 cm de diagonale) ayant une résolution de 1 280 x 800 pixels (WXGA.).


Pour le multimédia
Equipé d'un dispositif Dolby Theater et d’une sortie HDMI, il peut être utilisé pour diffuser de la vidéo en haute définition. Mais quel regret que le lecteur intégré ne soit pas compatible avec le format Blu Ray !


Un équipement complet
Il est doté d’un graveur de DVD double couche, d’un disque dur de 250 Go et d’une mémoire de 3 Go. Sa connectique est complète : lecteur de cartes 3 en 1, Bluetooth 2.0+EDR, HDMI, ExpressCard, VGA, casque, micro, Ethernet, 3 ports USB 2.0, webcam 2 millions de pixels... Par contre la présence d'un lecteur d’empreinte digitale ne nous a pas convaincu. Cette option relève plus du gadget que d'une fonction utile.

Caractéristiques :
Ecran de 13.3’’ (presque 34 cm de diagonale) de 1 280 x 800 WXGA.


Processeur : Intel Core2Duo P7350



Mémoire : 3 Go



Système : Windows Vista Familiale Premium



Stockage : disque dur de 250 Go



Connectivité : Gigabit Ethernet, Bluetooth et Wi-Fi.



Alimentation : batterie 4 cellules. Autonomie non précisée.



Dimensions & poids :

303 x 231 x 24-30 mm et 1,9 kg



Prix : 999 euros

Des écrans encore plus fins

Annoncé depuis des lustres par différents industriels,‭ ‬le concept des écrans souples sort enfin des laboratoires.‭ ‬HP a enfin annoncé l'industrialisation de son prototype d'écran flexible qui s'enroule sur lui-même à la manière d'une feuille de papier.‭ ‬Applications possibles‭ ‬:‭ ‬téléphones,‭ ‬journaux électroniques...‭ ‬Les informations seront imprimées sur le support à mesure que celui-ci se déroule.‭ ‬Pour l'instant,‭ ‬l'écran est noir et blanc mais d'ici trois ou quatre ans,‭ ‬il devrait être proposé en couleur.

Des vidéos sur carte

Après la vidéo à,‭ ‬la carte,‭ ‬voici maintenant la vidéo sur...‭ ‬la carte.‭ ‬Warner et Paramount ont en effet accepté de distribuer leurs films via cartes SD.‭ ‬Ces films seront commercialisés via des commerçants équipés d'un espace de téléchargement appelé MOD.‭ ‬Seulement‭ ‬2‭ ‬à‭ ‬3‭ ‬minutes seraient nécessaires pour assurer le transfert d’une vidéo en standard définition de la borne de téléchargement vers la carte mémoire de l’utilis35‭ ‬millions de dollars ont été investis conjointement par Toshiba,‭ ‬NRC Corporation et d’autres groupes dans cette nouvelle technologie.

La dernière chance de Motorola ?

Malmené par la concurrence,‭ ‬l'américain tente de reprendre la main en sortant un mobile intéressant.‭ ‬Fonctionnant sous Windows Mobile‭ ‬6.10,‭ ‬le‭ « ‬Surf A3100‭ » ‬disposera d'un écran QVGA de taille de‭ ‬2,8‭ ‬pouces.‭ ‬Quadribande GSM et tribande UMTS,‭ ‬il bénéficiera d'une connectique complète et de plusieurs fonctionnalités‭ ‬:‭ ‬Bluetooth,‭ ‬Wi-Fi,‭ ‬de deux capteurs photo‭ (‬un de‭ ‬3‭ ‬millions de pixel avec auto-focus et un autre VGA pour les appels en visio‭)‬,‭ ‬emplacement pour une carte Micro SD compatible HC et une puce A-GPS.‭ ‬Autant de caractéristiques séduisantes.‭ ‬Mais il faudra patienter avant de pouvoir le tester car il sortira ce premier trimestre dans quelques marchés d'Asie et d'Amérique Latine.